Alors, parlons d’un truc qui nous fait mal à tous, les amis : ces séries qui s’arrêtent trop tôt ! Vous savez, ces pépites télévisées qui nous font vibrer et, juste au moment où ça devient encore plus intense… PAF, annulées. C’est le cas pour des classiques comme Firefly ou Sense8, et maintenant, Utopia – aussi bien dans sa version britannique que dans son adaptation américaine. Et ouais, c’est officiel, Utopia fait partie de ce club exclusif des séries géniales qu’on n’a jamais pu voir aller jusqu’au bout. Pourquoi ? Bonne question, je me la pose encore.
Retour à la source : La version britannique qui a tout commencé
Petit voyage dans le temps : en 2013, Dennis Kelly nous sort une bombe avec Utopia, diffusée sur Channel 4. Et là, c’est du lourd : une esthétique hyper stylée avec des couleurs saturées, une bande-son qui nous file des frissons signée Cristobal Tapia de Veer, et surtout, une intrigue complètement folle !
Des conspirations, des épidémies, des gens qui meurent comme des mouches… Bref, on ne sait jamais ce qui va se passer.
Mais le truc, c’est que malgré son succès critique, la série s’est arrêtée après deux petites saisons. Pas assez d’audience, trop cher à produire… Classique. Ça fait mal, mais c’est comme ça que ça marche parfois.
La version américaine : Une seconde chance ratée
En 2020, Amazon Prime nous fait rêver avec l’idée de relancer Utopia, version US avec
John Cusack. Et c’est Gillian Flynn (oui, oui, celle qui a écrit Gone Girl) qui s’y colle. Et là encore, on retrouve une intrigue bien tordue, des théories du complot à gogo, et des personnages attachants. Mais bam, la série est annulée après une saison. Une seule. Alors qu’on était à fond ! Pourquoi ? Eh bien, les avis étaient partagés, et puis on était en pleine pandémie de COVID-19… Un show qui parle de virus et d’épidémies, ça a dû taper un peu trop près de la réalité pour certains.
Des morts inutiles ? Parfois, on se pose des questions
Dans cette version américaine, ce qui nous a laissé bouche bée, c’est les morts de certains personnages. Sérieusement, qui n’a pas été frustré de voir des protagonistes super intéressants disparaître en un claquement de doigts ? Juste au moment où on voulait voir leur développement sur plusieurs saisons, CLAC, ils meurent. C’est brutal, et ça fait mal au cœur. Mais ça fait partie du charme de Utopia aussi : l’idée que personne n’est à l’abri et que, dans cet univers de dingue, même les meilleurs peuvent y passer sans préavis.
Cosplayers en héros : Merci, Utopia !
Un des aspects qui a marqué l’adaptation américaine, c’est la mise en avant des cosplayers et des fans d’animés japonais en tant que héros. Franchement, c’est rare de voir ça dans une série mainstream, et pour ça, Utopia mérite un coup de chapeau. Ces personnages qui, d’habitude, sont souvent relégués au second plan, sont ici des acteurs centraux de l’intrigue. Ils apportent une fraîcheur et une diversité qui font du bien, et on aurait adoré les voir évoluer davantage.
Alors pourquoi cette annulation injuste ?
On pourrait passer des heures à spéculer sur les raisons de l’échec commercial de Utopia. Peut-être que c’était trop sombre, trop complexe, ou peut-être juste mal diffusé au mauvais moment. Ce qui est sûr, c’est que la série avait un potentiel énorme. Autant la version britannique que l’américaine avaient ce truc unique qui aurait pu en faire un classique si elles avaient eu plus de temps.
Mais voilà, dans l’industrie des séries, tout est question de chiffres. Pas assez de spectateurs ? Trop cher à produire ? On coupe tout, et nous, on reste là, frustrés, avec des théories et des intrigues laissées en suspens. Bref, Utopia fait désormais partie de ces séries inachevées qui resteront dans nos mémoires.
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Et franchement, je pense que je ne suis pas la seule à attendre encore des réponses à ces intrigues tordues !
Paroles de renard. 🦊
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